Вопрос № 1029595 - Французский язык

Vous allez accueillir vos amis chez vous. On sonne. Vous ouvrez la porte et vous dites: «________».

Vous téléphonez à votre ami, on vous demande d’attendre et on vous dit: «________» ou «_______».

    Sommes-nous accros au téléphone portable?
     Le téléphone portable est-il devenu un outil indispensable, ou est-ce juste un gadget qui rend la vie plus facile? Tes parents, tes frères et sœurs ou tes amis se sont peut-être posé cette question, ce week-end, s’ils sont abonnés chez l’opérateur de téléphone Orange. Pendant douze heures, le plus important réseau téléphonique français, a connu une panne importante empêchant les clients d’utiliser leurs portables. Le réseau a été touché par une panne très rare. «Réseau indisponible»: voilà le message qu’ont pu lire les 26 millions d’abonnés à Orange. Pendant douze heures, ils n’ont pas pu utiliser leur téléphone. Pas facile pour tout le monde, et pourtant, cela ne fait que vingt ans que les portables existent.
     Quand tes parents avaient ton âge, les téléphones portables n’existaient pas. Demande-leur, comment ils faisaient. Ils te répondront sûrement qu’ils s’organisaient différemment. Impossible de dire à leur copain «on s’appelle pour se retrouver!». Ils prévoyaient leurs rendez-vous et ils savaient précisément où ils devaient se rendre. Pour communiquer avec leurs amis ou leur famille, ils utilisaient les téléphones fixes ou les lettres écrites à la main! Sais-tu qu’au début du 20e siècle, pour s’échanger des messages, les gens utilisaient les pigeons voyageurs ? Cette espèce d’oiseaux était spécialement dressée pour transporter des messages d’un point à un autre!
     Aujourd’hui, 9 Français sur 10 ont un téléphone portable. Pour certaines personnes, cet outil est devenu ndispensable. C’est le cas par exemple des médecins. Ceux qui travaillaient pendant la panne n’étaient plus joignables entre deux visites chez leurs patients. C’est le cas aussi des livreurs de pizzas, certains se sont retrouvés bloqués sans pouvoir livrer leurs commandes.
     Lors de la panne de ce week-end, de nombreux lycéens n’ont pas pu envoyer les résultats du bac à leur famille ; des copains n’ont pas pu se retrouver pour faire la fête; d’autres n’ont pas pu prévenir leurs parents qu’ils seraient en retard… Nous sommes tellement habitués à être joignables partout et tout le temps, que, parfois, nous sommes devenus dépendants de nos portables! Il existe même un terme pour désigner cette dépendance : la nomophobie (de l’anglais « no mobile phobia»), la peur d’être sans téléphone.
Parmi les phrases données choisissez celle qui reflète le mieux le problème soulevé dans le texte lu …

    Ladéglingue
     Cette année-là un nouvel élève s’était présenté à l’école. Personne ne le connaissait pas dans le quartier. Il était habillé encore plus mal que moi, mais très proprement. Il n’avait ni béret ni casquette.
     Quand il est entré dans la classe pour la première fois, un de nous a crié:
     – Tiens, voilà Ladéglingue!
Tout le monde a ri et ce nom lui est resté. On ne lui demandait jamais son nom. Pour nous c’était Ladéglingue. Il n’avait pas de mère. Son père, qui était ouvrier, travaillait toute la journée. Il habitait non loin de moi dans une vieille maison, qui n’était pas mieux que la nôtre.
     Sur les murs de notre classe il y avait des cartes géographiques et des photos. Sur l’une de ces photos on voyait une scène de la guerre: un village en ruines après un bombardement.
     Un jour Ladéglingue a oublié quelque chose dans son pupitre. Il est revenu dans la classe. Je ne sais pas pourquoi ce jour-là je me trouvais dans les corridors après la sortie des autres élèves. J’ai vu Ladéglingue et j’ai pensé: “Où peut-il aller en ce moment?” Ladéglingue est entré dans notre classe. Je me suis approché et j’ai regardé par la porte. Il est allé à sa place, a cherché dans son pupitre, a trouvé ce qu’il avait oublié et est allé vers la porte. A ce moment il a vu cette photographie des ruines et l’a regardée longtemps. Alors il a pris un crayon, est allé vers l’image et a écrit quelque chose.
     Puis s’est retourné et m’a vu. Il s’est approché de moi et j’ai compris qu’il voulait me dire: “Ne dis pas que c’est moi.” Mais je ne lui ai pas laissé le temps de dire un mot.
     – Je ne dirai rien, Ladéglingue. Je ne dirai rien, – et je lui ai tendu la main.
Il m’a regardé très étonné et m’a serré la main. Puis je me suis approché du
tableau et j’ai vu les mots: “A bas la guerre!” Il m’a regardé et il m’a dit:
     – Tu comprends, mon père avait cinq frères, ils y sont morts, là-bas, à la guerre!
     J’ai dit “oui” de la tête et nous sommes sortis de la classe. Nous avons marché ensemble sans parler. Puis, près de ma maison, Ladéglingue m’a dit:
     – Ecoute, ne fais pas comme les autres, appelle-moi Henri, si tu veux!
                                       D’après R.Bellanger, J’ai vingt ans
Restituez l’ordre logique des événements exposés dans le texte lu …

Transformez le mot mis en parenthèses pour qu’il signifie «une doctrine, un mouvement»:
Victor Hugo est un brillant représentant du ________ (romantique).

Remplacez le verbe mis en parenthèses par le Gérondif:
Il y avait sur la table une revue que j'ai feuilletée ________ (boire) mon café.