Вопрос № 1029604 - Французский язык

Dans cette dictée tu as fait le ________ (beaucoup) de fautes.

    Ladéglingue
     Cette année-là un nouvel élève s’était présenté à l’école. Personne ne le connaissait pas dans le quartier. Il était habillé encore plus mal que moi, mais très proprement. Il n’avait ni béret ni casquette.
     Quand il est entré dans la classe pour la première fois, un de nous a crié:
     – Tiens, voilà Ladéglingue!
Tout le monde a ri et ce nom lui est resté. On ne lui demandait jamais son nom. Pour nous c’était Ladéglingue. Il n’avait pas de mère. Son père, qui était ouvrier, travaillait toute la journée. Il habitait non loin de moi dans une vieille maison, qui n’était pas mieux que la nôtre.
     Sur les murs de notre classe il y avait des cartes géographiques et des photos. Sur l’une de ces photos on voyait une scène de la guerre: un village en ruines après un bombardement.
     Un jour Ladéglingue a oublié quelque chose dans son pupitre. Il est revenu dans la classe. Je ne sais pas pourquoi ce jour-là je me trouvais dans les corridors après la sortie des autres élèves. J’ai vu Ladéglingue et j’ai pensé: “Où peut-il aller en ce moment?” Ladéglingue est entré dans notre classe. Je me suis approché et j’ai regardé par la porte. Il est allé à sa place, a cherché dans son pupitre, a trouvé ce qu’il avait oublié et est allé vers la porte. A ce moment il a vu cette photographie des ruines et l’a regardée longtemps. Alors il a pris un crayon, est allé vers l’image et a écrit quelque chose.
     Puis s’est retourné et m’a vu. Il s’est approché de moi et j’ai compris qu’il voulait me dire: “Ne dis pas que c’est moi.” Mais je ne lui ai pas laissé le temps de dire un mot.
     – Je ne dirai rien, Ladéglingue. Je ne dirai rien, – et je lui ai tendu la main.
Il m’a regardé très étonné et m’a serré la main. Puis je me suis approché du
tableau et j’ai vu les mots: “A bas la guerre!” Il m’a regardé et il m’a dit:
     – Tu comprends, mon père avait cinq frères, ils y sont morts, là-bas, à la guerre!
     J’ai dit “oui” de la tête et nous sommes sortis de la classe. Nous avons marché ensemble sans parler. Puis, près de ma maison, Ladéglingue m’a dit:
     – Ecoute, ne fais pas comme les autres, appelle-moi Henri, si tu veux!
                                       D’après R.Bellanger, J’ai vingt ans
Restituez l’ordre logique des événements exposés dans le texte lu …

L’un des rois de France qui a proclamé: «L’Etat c’est moi!» est …

    Le maître d’école
     Après avoir terminé l’Ecole Normale Simon Sermet devient maître d’école de village. Sa classe n’était pas nombreuse et aucun de ses élèves n’était pas méchant.
Les premiers jours c’était très difficile. Il devait toujours occuper les enfants pendant qu’on expliquait aux autres. Les grands faisaient leurs problèmes, pendant que les petits apprenaient à compter. Pendant les dictées des grands, les petits écrivaient des lettres. Quelques élèves avaient fini avant les autres. Ils se levaient pour présenter leurs cahiers. Sermet leur donnait de nouveaux devoirs. Alors les grands chuchotaient. Et ainsi de suite.
     Quelques semaines plus tard Simon s’était habitué. Il pensait toujours à ses enfants. Il ne battait personne, il ne grondait pas les enfants. Il aimait ses enfants. Il les comprenait et, pendant les leçons, les enfants l’écoutaient toujours avec attention. Il n’y avait qu’un seul incident peu de temps après la rentrée. Pour la première et la dernière fois, les écoliers ont vu Simon en colère…
     Les enfants jouaient dans la cour. Le maître allait et venait. Il regardait les enfants, puis les champs. Il pensait à ses années de guerre, il se voyait au front, à l’hôpital. Tout à coup quelqu’un a crié. Alphonse battait Jean. Le maître s’est approché. Alphonse a expliqué: «On jouait à la guerre, monsieur. Je ne voulais pas lui faire du mal».
     Simon a dit à la classe: «Finissez de jouer. Nous allons rentrer. Mais d’abord… Ecoutez-moi. Alphonse a battu Jean. Pour cette fois, je ne le punirai pas. Alphonse m’a dit: “On jouait à la guerre…”. C’est de cela que je veux parler. La guerre est une chose horrible. Ce n’est pas un jeu. Une chose horrible, mes enfants, écoutez-moi bien. Des millions d’hommes sont morts au front, des millions, vous m’entendez? Il ne faut pas jouer à la guerre, ni au soldat. C’est horrible. Les hommes ne doivent pas se battre. Ce sont les bêtes sauvages, les loups qui se battent. Les hommes qui se battent ressemblent à des bêtes».
                                       D’après P. Gamarra, Maître d’école
Dans ce texte il s’agit d’une des guerres dans l’histoire de France …

L’équipe a gagné ce match grâce à ce joueur. Sans lui l’équipe …

Il est dommage qu’elle ________ (tomber) malade.